INTERNATIONAL SYMPOSIUMS

GETARIA GENIUS 2023

ABSTRACTS

Jean-Luc Puyjalon was the animator of WORKSHOP 2. He explained in two words what are exactly intersectoral activities..

 

Intersectoral collaboration

It is an approach that comes from Canada and has been theorized particularly in the field of public health:

References:

• Collaboration and Partnerships for Healthy Communities

(Ontario Healthy Communities Coalition)

• Les collaborations intersectorielles et l’action en partenariat, comment ça marche ?

(Angèle Bilodeau ■ André-Anne Parent ■ Louise Potvin)

Reminder of the objectives of the Erasmus + partnerships (KA2)

Cooperation partnerships aim to enable organisations to increase the quality and relevance of their activities, by developing and strengthening their network of partners in order to operate together at a transnational level. It is a question of increasing their international integration and exchanging, developing, new methods and practices by confronting ideas. Project results must be transferable and scalable. Although having a sectoral input (school education, higher education, vocational training or adult education), the expected results can have impacts on several educational sectors . Projects must take into account environmental, inclusion and digital issues. They are in line with the priorities of the Erasmus+ programme, which take up these issues but also the desire to strengthen participation in democratic life.

I. General principles of intersectoral collaboration

a) What is it?

Intersectoral collaboration, intersectoral action and multisectoral partnerships are all terms that refer to an approach whereby a grouping of partners from different origins and sectors work together on an issue of common interest.

This approach is based on the premise that solutions go beyond the provision of knowledge transfer and are often found outside the education sector itself.

The benefits of intersectoral action are to foster new practices and innovation, reduce duplication of programmes, increase opportunities for action at different levels of determinants, and increase the potential for impact of interventions by pooling funding and resources.

Four components of the intersectoral collaboration process

the end THEN THE SAME post in french/

b) What are the goals?

Cross-sectoral coordination involves working together between different sectors or entities to make mutual adjustments to interventions to make them more coherent and robust in order to achieve joint goals.

Its purpose is to develop answers to complex problems that organizations, alone, could not solve.

Partnership action involves the pooling of knowledge and resources.

1. c) Are there any obstacles?

The challenge of intersectoral action lies in the fact that it must address a diversity of issues intertwined by the application of sectoral, disciplinary or professional knowledge and practices, and different perspectives on problems and solutions.

Warning: Greater interdependence in collective action is accompanied by a loss of autonomy for each actor.

 

1. Practical application (our example)

The Beyond Boundaries People Project

- Schools (Lycée Maurice Ravel / Colegiul Economic Iulian Pop (Cluj-Napoca) / Rigas Raiņa vidusskola / Cesme / Rome)

 

The ACME project (ALL CITIZENS: MANKIND ERASMUS+)

- Etablissements scolaires (Lycée Maurice Ravel / Colegiul Economic Iulian Pop (Cluj-Napoca) / Ozel Cesme Bilgic Anadolu Lisesi / veterinary medicine 'Prof. d-r. Georgi Pavlov' Dobrich / Skola mezinarodnich averejnych vztahu Praha / Ogólnokształcące im. Polskich Noblistów

Let's take the example of the ACME project, an intersectoral collaboration between:

1. Ilargia (cultural association)
2. Project schools
3. Iratxe Renteria (Berritz Egune, gouvernement basque)
4. Academic Institution: School of Legal Training (Rectorate of Bordeaux)
5. UPPA (European and International Studies)
6. Sports associations (Aviron Bayonnais, Comité Départemental Aviron)

 

Responsibility and citizenship

CITIZENS' RIGHTS

LIMITATIONS OF CITIZENSHIP

DUTIES OF CITIZENS

 III. The relevance of third places

Third Place is a term translated from the English The Third Place referring to the social environments that come after home and work. This is a thesis developed by Ray Oldenburg, professor of urban sociology at the University of Pensacola in Florida, in his book published in 1989: The Great Good Place.

A third place is a physical space designed to accommodate a community in order to allow it to freely share resources, skills and knowledge.

The advantage is supposedly that we find ourselves on neutral ground: the third place is a place that does not entail any obligation from each other (for example guest / host), facilitating reflection in a serene and friendly atmosphere.

 

french text

La collaboration intersectorielle

C’est une démarche qui vient du Canada et qui a été théorisée notamment dans le domaine de la santé publique :

Références :

• Collaboration and Partnerships for Healthy Communities

(Coalition des communautés en santé de l’Ontario)

• Les collaborations intersectorielles et l’action en partenariat, comment ça marche ?

(Angèle Bilodeau ■ André-Anne Parent ■ Louise Potvin)

Rappel objectifs des partenariats Erasmus + (KA2)

Les partenariats de coopération visent à permettre aux organismes d’accroître la qualité et la pertinence de leurs activités, en développant et renforçant leur réseau de partenaires afin d’opérer ensemble à un niveau transnational. Il s’agit d’accroître leur insertion internationale et d’échanger, développer, de nouvelles méthodes et pratiques en confrontant les idées. Les résultats du projet doivent être transférables et évolutifs. Bien qu’ayant une entrée sectorielle (enseignement scolaire, enseignement supérieur, formation professionnelle ou éducation des adultes), les résultats attendus peuvent avoir des impacts sur plusieurs secteurs éducatifs. Les projets doivent prendre en compte les questions d’environnement, d’inclusion et de numérique. Ils s’inscrivent dans les priorités du programme Erasmus+ qui reprennent ces questions mais également la volonté de renforcer la participation à la vie démocratique.

I. Principes généraux de la collaboration intersectorielle

1. a) De quoi s’agit-il ?

La collaboration intersectorielle, l’action intersectorielle et les partenariats multisectoriels sont tous des termes qui se rapportent à une démarche par laquelle un regroupement de partenaires d’origine et de secteur distincts travaille de manière concertée sur une question d’intérêt commun.

Une telle démarche part du principe que les solutions dépassent la simple prestation de transmission de connaissances et qu’elles se trouvent souvent ailleurs que dans le secteur de l’éducation proprement dit.

L’action intersectorielle a pour avantage de favoriser les nouvelles pratiques et l’innovation, de réduire la duplication de programmes, d’accroître les possibilités d’action à différents niveaux de déterminants et d’accroître le potentiel d’impact des interventions en mettant en commun les financements et les ressources.

Quatre composantes du processus de collaboration intersectorielle :

1. b) Quels sont les buts ?

La coordination intersectorielle implique un travail conjoint entre des secteurs distincts ou des entités différentes pour apporter des ajustements mutuels aux interventions de sorte à les rendre plus cohérentes et plus solides afin d’atteindre des buts conjoints.

Son but est de développer des réponses à des problèmes complexes que les organisations, isolément, ne pourraient pas résoudre.

L’action en partenariat implique la mise en commun de savoirs et de ressources.

1. c) Y a-t-il des obstacles ?

La difficulté de l’action intersectorielle réside dans le fait qu’elle doit faire face à une diversité d’enjeux entremêlés par la mise en de savoirs et de pratiques sectoriels, disciplinaires ou professionnels, et de perspectives différentes sur les problèmes et les solutions.

Attention : Une interdépendance plus grande dans l’action collective s’accompagne d’une perte d’autonomie de chaque acteur.

II. Application concrète (notre exemple)

Le projet Beyond Boundaries People

- Etablissements scolaires (Lycée Maurice Ravel / Colegiul Economic Iulian Pop (Cluj-Napoca) / Rigas Raiņa vidusskola / Cesme / Rome)

Le projet ACMÉ (ALL CITIZENS: MANKIND ERASMUS+)

- Etablissements scolaires (Lycée Maurice Ravel / Colegiul Economic Iulian Pop (Cluj-Napoca) / Ozel Cesme Bilgic Anadolu Lisesi / veterinarna medicina 'Prof. d-r. Georgi Pavlov' Dobrich / Skola mezinarodnich averejnych vztahu Praha / Ogólnokształcące im. Polskich Noblistów

Prenons l’exemple du projet ACMÉ, collaboration intersectorielle entre :

• Ilargia (association culturelle)
• Etablissements scolaires du projet
• Iratxe Renteria (Berritz Egune, gouvernement basque)
• Institution Académique : Ecole de formation juridique (rectorat de Bordeaux)
• UPPA (Etudes Européennes et Internationales)
• Associations sportives (Aviron Bayonnais, Comité Départemental Aviron)

Responsabilité et citoyenneté

DROITS DU CITOYEN

LIMITES DE LA CITOYENNETÉ

DEVOIRS DU CITOYEN

III. La pertinence des tiers-lieux

Tiers-lieu est un terme traduit de l'anglais The Third Place faisant référence aux environnements sociaux qui viennent après la maison et le travail. C'est une thèse développée par Ray Oldenburg, professeur de sociologie urbaine à l’université de Pensacola en Floride, dans son livre publié en 1989 : The Great Good Place.

Ub tiers lieu est un espace physique prévu pour accueillir une communauté afin de permettre à celle-ci de partager librement ressources, compétences et savoirs.

L’avantage est censément que l’on s’y retrouve en terrain neutre : le tiers-lieu est un endroit n’entraînant aucune obligation de l'un envers l'autre (par exemple invité/hôte), facilitant la réflexion dans une atmosphère sereine et conviviale.